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Traduction d’un récit de Craig88.

Ceci est une FICTION avec chantage, humiliations et contrainte d’une jeune femme. Certains passages étant très « crades », ils peuvent choquer. Si vous n’aimez pas ce genre, arrêtez de lire.

**************

Nous sommes jeudi. Mon viol par Marcus s’est passé le mardi. D’ailleurs je suis retournée le voir. Nous avons passé plusieurs heures à baiser sans arrêt. Ma chatte était douloureuse le lendemain mais ça ne m’a pas empêchée de passer toute la journée empalée sur cette monstrueuse queue.

Hier, M. ALLEN était venu mais rien de spécial ne s’est passé. Il m’a juste sodomisée et giflée. Je fus un peu déçu. Après son départ je suis descendue à l’appartement de Marcus et je l’ai laissé jouer avec moi.

Il est 10h30. Je rentre chez moi et je m’assois sur le canapé. Je reviens de chez Marcus. Dès que mon mari était parti au travail, j’avais rejoint mon voisin pour lui sucer la queue et lui lécher le cul comme il me l’avait ordonné. J’avais un drôle de goût dans la bouche, mais je m’en foutais.

J’ai encore du mal à croire comment j’ai été transformée en pute. Mon cerveau a complètement été dominé par ma chatte, mon sexe qui avait été si longtemps négligé par mon mari. Je suis une femme de 34 ans et je suis mariée à Steve depuis 2 ans. Notre vie sexuelle est insignifiante. J’ai eu mon premier orgasme dans les mains d’un clochard et je ne peux plus apprécier des rapports sexuels avec Steve. Je veux être traitée comme une salope, je veux être baisée par tous mes trous. Je veux que les hommes me traitent comme un objet de plaisir et une vide-couille. Je veux des hommes sales et puants, des hommes laids qui sont incapables d’avoir une femme aussi chaude que moi. C’est ce que je veux.

Je porte la robe en latex serrée que je portais lorsque je me suis faite violer par les clochards. Marcus voulait que je la prenne pour vraiment ressembler à une putain. Je me lève et j’entre dans la chambre pour me regarder dans le miroir. Mon mascara a coulé sur mon visage à cause de la gorge profonde que j’ai dû faire à mon voisin.

Je quitte la robe et j’examine les tâches distinctives de sperme dessus. La dernière fois qu’elle avait été recouverte de sperme, je l’avais nettoyée avec un chiffon humide. Mais là je le ferai plus tard.

Je soulève la robe jusqu’à mon visage, sous mon nez. Il y a toujours une forte odeur de foutre. Je sors ma langue et je la passe sur les tâches de sperme. Je m’arrête brièvement avant de recommencer à la lécher. Ce sperme a un goût délicieux pour une salope comme moi. Je lèche toutes les traces que je peux trouver sur la robe en latex. Je suis sûre que M. ALLEN aimerait voir ça. Pendant que je lèche, je glisse ma main entre mes cuisses et je pénètre ma chatte emplie de sperme avec mes doigts. Mon Dieu, Marcus est capable de jouir comme un cheval.

Je retire mes doigts de ma chatte et j’examine le liquide gluant qui se trouve dessus. Un par un je lèche mes doigts, les nettoyant du sperme. Je passe lentement d’un doigt à l’autre. Mais j’en veux plus.

De nouveau je vais fouiller ma chatte pour aller chercher le foutre de Marcus et je l’avale sans hésitation. Je laisse échapper un long soupir en appréciant le mélange de sperme salé avec le jus de ma chatte. Je récupère le plus de sperme possible et je finis par lécher mes doigts jusqu’à ce qu’ils soient propres.

M. ALLEN est très en retard aujourd’hui. Il n’arrive qu’à 15 heures. A ce moment-là ma chatte est bien trempée, je me suis masturbée 4 fois en attendant.

– Aujourd’hui, je crains de ne pas pouvoir rester longtemps Hélène car j’ai des choses à faire. Alors dis-moi quand Steve va être au travail ces prochains jours?

Pour la première fois depuis des mois, Steve va travailler la nuit. Je n’aime pas ça car je déteste être seule dans l’appartement toute la nuit. Je l’avais supplié de ne pas faire de nuit mais il m’a dit qu’il n’avait pas le choix.

– Demain soir, il travaille de nuit, de 20 heures à 6 heures du matin. Dis-je au propriétaire.

Ses yeux se sont éclairés.

– Il travaille de nuit!

Je ne sais pas s’il parle tout seul ou à moi alors je me contente de hocher la tête. Il sourit :

– C’est absolument génial. Oh Hélène, demain soir, je vais te sortir pour une nuit que tu n’oublieras jamais!

Que veut-il dire exactement? Mas ma chatte aime ses paroles car elle mouille de plus en plus. Je peux sentir mes sous-vêtements s’humidifier.

– Hélène, je serai là à 20 heures 30. Je m’attends à ce que tu sois habillée comme une pute : bas, mini-jupe, bottes.

Sur ces paroles, il sort de l’appartement avec le plus grand sourire sur son visage que je n’ai jamais vu? Que va-t-il me faire faire maintenant?

*******

J’embrasse Steve pour lui dire au revoir. En vérité, j’essaie de le faire partir au plus vite. Ma chatte frissonne d’anticipation. Dès qu’il est parti, je vais directement dans la chambre et j’étale sur le lit tous mes vêtements de pute. Un par un je les essaie devant le miroir pour trouver celui Escort Bahçeşehir qui fait le plus salope. Je ne veux pas de la robe en latex serré que j’ai déjà porté bien souvent.

Finalement je me décide quelques minutes avant l’arrivée de M. ALLEN. Je prends une mini-jupe à carreaux très courtes, un haut moulant, des bas et un porte jarretelle beige ainsi que des talons hauts. Mes seins sont si gros qu’ils tendent au maximum le tissu de mon haut. On peut voir mes mamelons à travers le tissu beige. Je ne mets ni soutien-gorge ni culotte. Je me maquille et je redresse mes cheveux blonds pour mieux ressembler à une prostituée.

Mon propriétaire arrive et aime ce qu’il voit. Il sourit et dit :

– Bien Hélène, tu es une bonne fille.

Il passe sa main potelée sur mes cuisses. Il me caresse doucement et continue jusqu’à ce qu’il atteigne ma chatte nue.

– Tu n’as pas de culotte, tu es si humide?

C’est vrai, je peux presque sentir mon jus couler sur mes jambes alors qu’il glisse ses doigts dans mon vagin. Ensuite il tripote ma poitrine et sors un de mes seins. Il commence à pincer mon téton. Puis il passe derrière moi et me penche sur le canapé. Je crois qu’il veut me baiser avant que l’on parte. Je le veux aussi. Mais je sais que sa queue est trop petite pour satisfaire ma chatte insatiable.

Tandis que je me penche sur le canapé, il remonte ma jupe et se baisse pour me lécher la chatte. Il enfonce sa langue dans mon trou humide. Ça me fait du bien. Ça fait bien longtemps que personne ne m’a mangé la chatte, j’avais oublié à quel point c’est bon. Je bouge mes hanches sur sa langue et bientôt il s’intéresse à mon trou du cul.

– Oh mon Dieu ohhhhhhh! soupiré-je.

Je me sens si bien avec sa langue dans mon cul. J’ai toujours voulu ça mais Steve a toujours refusé, il dit que c’est dégoûtant. Peut-être que la seule chose que je déteste chez Steve, c’est qu’il est toujours réticent à essayer des choses nouvelles. Étonnamment il est très strict et très pudique alors il désapprouve les tenues trop sexy et les comportements osés. Il est très prude.

Aujourd’hui je profite de mon premier anulingus. M. ALLEN a une petite bite, mais il est très habile avec sa langue.

– Oh M. ALLEN, allez-y, lécher mon trou du cul, c’est si bon. Ohhhhhh!

Je sais qu’il aime que je l’appelle M. ALLEN. Il enlève sa langue de mon cul puis il me sodomise violemment. Je gémis.

– Oh putain, c’est serré! Dit-il.

Il pose ses mains sur mes hanches et commence furieusement à m’enculer avec passion. Étonnamment je sens très bien sa bite et ça me fait jouir. Il gifle mes fesses et il me traite de sale pute tout en me labourant le cul.

Sans surprise, il ne peut tenir longtemps avant que je ne le sente se raidir et vider ses couilles dans mon trou du cul.

– OH OUI Hélène! Espèce de grosse salope!

Il retire sa queue et du sperme sort de mon cul.

– Bon Hélène, je veux que tu avales tout ce sperme. Ne gaspille pas une seule goutte.

Je lui obéis et je doigte mon cul pour récupérer autant de sperme que possible. Heureusement que je m’étais bien lavé auparavant. Son sperme est assez épicé. Quand il est satisfait de mon nettoyage, il me dit d’aller aux toilettes et de me laver. Comme il ne veut pas que je porte de culotte, il ne veut pas que je fuie sur les sièges de sa BMW.

Nous quittons l’immeuble et nous prenons une route différente de la dernière fois, celle où nous nous sommes rendus dans les vieux quartiers où j’ai été humiliée par des sans-abris. Je ne sais pas où mène la route sur laquelle conduit mon propriétaire.

Mais, après dix minutes de trajet, je me rends compte que nous sommes dans une zone un peu isolée. Je distingue juste les arbres de chaque côté de la route. Il fait sombre et les lieus sont calmes.

Un peu plus loin, nous tournons à gauche sur un petit parking. Il y a des arbres tout autour et un ou deux lampadaires. M. ALLEN se gare sur une place isolée. Un saule pleureur penche sur la voiture et la cache un peu. Je remarque qu’il y a deux autres voitures sur le parking. Elles ont l’air vides. Je regarde l’horloge sur le tableau de bord, il est 21 heures 40.

– Que faisons-nous ici?

Je ne reçois pas de réponse, juste un sourire aux dents jaunies. Nous attendons en silence pendant près de vingt minutes.

Vers 22 heures 15, j’avais déjà sucé la queue de M. ALLEN deux fois pour passer le temps. Alors que je le prends en bouche pour une troisième fois, il m’arrête et me dis qu’il est temps. Je lève les yeux et regarde le parking. Il y a plus de voitures. J’en compte six. Je distingue mal à l’intérieur des véhicules donc je ne peux savoir si elles sont occupées.

J’en vois juste une qui se balance d’avant en arrière. Je pense alors que le chauffeur ne doit pas être seul.

– Hélène, vois-tu le gros bâtiment au loin? Me demande mon propriétaire.

Je regarde et je scrute le lointain. Oui je vois le bâtiment. Je lui demande ce que c’est.

– C’est où tu vas aller Hélène!

Je le regarde. Bahçeşehir Escort Bayan J’ai un peu peur car il fait très noir dehors et je ne sais pas ce qui m’attend dans le bâtiment.

– Ne t’inquiète pas Hélène, je serai avec toi. Oh et tu devrais savoir que faire quand tu y seras.

Sur ces mots, il ouvre la boite à gants et sort un petit appareil photo numérique. Il me semble que c’est un de ceux qui ont un rabat sur le côté pour pouvoir enregistrer des vidéos. Je ne suis pas vraiment au courant des dernières avancées en matière de technologie vidéo et autres.

– Allez-vous me filmer?

– ça ne pose pas de problèmes Hélène. N’est-ce pas?

Le ton de sa voix me fait comprendre que je vais prendre une claque si je montre mon désaccord. Je décide alors de me taire. Il ouvre le rabat de l’appareil et appuie sur un bouton. Une petite lumière rouge s’allume. Il déplace la caméra de haut en bas pour me filmer complètement.

– Allez Hélène, souris! Tu as vraiment un beau corps.

Il dirige l’objectif sur mes seins. Je suis très mal à l’aise à l’idée d’être filmée. Mais en même temps ça m’excite.

– Maintenant Hélène, je veux que tu sortes de la voiture et que tu marches jusqu’au bâtiment. Je vais te suivre.

Avec appréhension je sors de la voiture. Il faut que je traverse complètement le parking pour rejoindre le bâtiment indiqué. Cela veut dire que tous les occupants des autres voitures vont me voir. Je commence à marcher et je sens des regards qui me scrutent à travers les pare-brises. Mes seins rebondissent et mon cul roule dans ma mini-jupe. Mes talons claquent sur le sol. Ma chatte s’humidifie à la pensée de tous ces yeux braqués sur moi. Finalement j’arrive à la fin du parking et j’avance dans l’allée menant à l’immeuble.

Je plisse les yeux pour mieux voir dans la pénombre du lieu. Et en entrant je réalise à quoi sert ce bâtiment. C’est des toilettes publiques.

Je me tourne vers M. ALLEN, qui, fidèle à sa parole, me suit la caméra à la main. Il me fait un signe pour me dire de pénétrer plus loin. Je regarde ces toilettes et je vois que la porte la plus proche de moi est pour les hommes. Je prends une grande inspiration et je me dirige vers cette porte.

Lorsque j’entre lentement, l’odeur d’urine est si forte que je suis presque renversée. Je ne sais pas pourquoi mais les toilettes des hommes puent toujours horriblement. Le sol est en marbre bleu.

Je me déplace sur la gauche pour éviter le mur en face de la porte qui permet, dans les toilettes publiques, de cacher le reste de la pièce aux passants extérieurs.

Je me rend compte que la pièce est vide. Sur le mur de droite il y a trois urinoirs, sur le mur de gauche deux lavabos et en face se trouvent quatre cabines. La lumière est faible mais je vois bien quand même. Les murs sont blancs et je peux entendre un goutte à goutte sortant d’un robinet cassé. L’endroit est plutôt délabré.

Des serviettes en papier sont parsemées sur le sol. Il y a aussi une flaque d’eau. Étonnamment le miroir est intact alors que les murs sont couverts de graffitis. Les cabines ont connu des jours meilleurs. Elles sont aussi couvertes de graffitis et certaines parois sont fendues.

Je me positionne au milieu de la pièce. Je frissonne. Il fait un peu froid et j’ai peur.

M. ALLEN entre derrière moi. C’est étrange, mais je me sens un peu plus en sécurité quand il est là.

– Viens avec moi Hélène!

Toujours armé de sa caméra, il me conduit vers les cabines. Il les examine toutes les quatre et finalement il décide que l’une du milieu fera l’affaire. Il me pousse à l’intérieur et me fait asseoir sur la cuvette. La cabine est assez grande pour que nous y entrions tous les deux. Il ferme la porte derrière nous et la verrouille. Et il continue de me filmer.

Je regarde à gauche et je vois un trou creusé dans la cloison. Je vois la même chose à ma droite. Pourquoi sont-ils là?

Mes pensées sont rapidement interrompues quand j’entends des pas dans les toilettes. Je retiens mon souffle. Les pas se rapprochent de plus en plus. J’entends une personne entrer dans la cabine à côté de la notre. La porte se ferme et je reconnais le bruit distinctif d’une braguette qui est ouverte.

Je regarde M. ALLEN qui me fait signe de mettre mon doigt dans le trou de la cloison entre notre cabine et celle où quelqu’un est entré. J’obéis et j’y passe mon majeur. Mon propriétaire me fait signe alors de retirer ma main. J’obéis encore.

Tout en retenant ma respiration, je me demande ce qui va se passer ensuite. Tout d’un coup, une bite est poussée à travers le trou. Je suis surprise par cette queue qui passe dans un trou de cloison, je n’ai jamais vu ça auparavant. Je me penche en avant et j’enroule ma main autour du membre. Il est chaud mais pas encore bien raide. Lentement je le caresse. Puis je me penche de plus en plus pour finalement prendre le gland dans ma bouche. Je le suce lentement tout en caressant la hampe. La bite grossit et s’allonge. Elle fait bien 15 centimètres de long Bahçeşehir Escort maintenant.

L’homme, de l’autre côté de la cloison gémit pendant que je suce sa queue à travers le trou. Je la prends complètement en bouche et je m’applique. Je deviens de plus en plus excitée. Mon Dieu, je suis en train de sucer la bite d’un étranger à travers un trou dans une cloison. J’ai totalement oublié que M. ALLEN est en train de me filmer. Je mouille et je peux sentir que la cuvette des toilettes où je suis assise devient glissant à cause du jus de ma chatte. Je ne peux m’empêcher de glisser ma main dans mon entrejambe et commencer à jouer avec mon clitoris pendant que je suce.

Je veux réagir alors je le fais :

– Oh oui, j’aime sucer ta bite chéri! Oh oui!

Je crois que de parler comme une pute excite beaucoup l’homme à côté. Il retire sa bite du trou. Je jette un coup d’œil et je le vois se masturber rapidement.

– Oh oui Chéri, viens dans ma bouche, oui!

Il remet sa queue dans le trou et j’ouvre la bouche pour recevoir sa décharge. Il gémit bruyamment tout en éjaculant dans ma gorge. J’avale tout. Après avoir fini, il retire sa queue du trou et il part. Je suis tellement excitée que ça me paraît incroyable.

Après que l’homme soit parti, les toilettes sont restées silencieuses pendant une minute ou deux. Je regarde M. ALLEN qui affiche un grand sourire sur son visage et une grosse bosse dans son pantalon tout en continuant de filmer.

Puis quelqu’un d’autre entre. Je l’entends marcher et baisser son pantalon.

– Y a-t-il quelqu’un d’autre qui a envie que je lui suce la queue?

Je suis une pute et une allumeuse, je ne peux plus me retenir.

L’homme pousse sa bite à travers le trou. Elle est belle et mesure au moins 18 centimètres. Je ne perds pas de temps pour la saisir.

– Oh oui, que ta queue est belle et grosse!

Je la saisis à la base et j’engouffre le membre dans ma bouche. Je le suce habilement et quand je sens qu’il va jouir, je le branle plus vite.

– Oh oui chéri, viens dans ma bouche, je veux goûter ta semence.

Alors qu’il décharge son sperme dans ma bouche, M. ALLEN se rapproche pour me filmer en gros plan. Je passe ma langue sur mes lèvres pour ne pas perdre une seule goutte du foutre de l’homme. Et je dis :

– C’est tellement bon.

Après que cet homme soit parti, un autre est arrivé. Je l’ai sucé lui aussi en lançant des regards cochons à la caméra et à mon propriétaire.

– Hmmmm, Est-ce que vous aimez me voir sucer des bites? Dis-je en souriant à la caméra.

M. ALLEN sourit. Je suis une vraie putain.

– Oh mon Dieu, j’aime sucer ta queue, ça me fait mouiller. S’il te plaît, jouis dans ma bouche chéri!

Après qu’il se soit déversé dans ma gorge, je décide que j’ai besoin d’une bite dans ma chatte. Je vais baiser la prochaine queue qui passera par ce trou.

Je n’attends pas longtemps. Un autre membre traverse la cloison et je ne peux croire ma chance. Il s’agit d’une bite noire mesurant bien plus de 20 centimètres. Je m’agenouille devant et j’ouvre ma bouche pour bien l’engouffrer jusqu’au fond de ma gorge. Je remonte ma jupe et je commence à doigter ma chatte déjà bien humide et excitée. Je m’applique à sucer cette grosse queue noire et son propriétaire apprécie. Puis je la sors de ma bouche et je lui dis que je veux qu’il baise ma chatte à travers le trou.

Je me retourne. Je me penche sur le siège des toilettes et je tends la main pour attraper la verge d’ébène. Je la tiens contre les lèvres de ma chatte et je recule dessus. Le sexe glisse lentement en moi. Je recule le plus loin possible jusqu’à ce que mon cul heurte la paroi. Et je baise ce membre lentement. L’homme reste sans bouger, me laissant faire tout le travail.

Cette grosse bite noire se sent bien dans ma chatte blanche rasée. M. ALLEN réussit à mettre la caméra entre mes jambes pour m’enregistrer en train de m’empaler sur une queue noire.

– Oh mon Dieu, oui, oui, j’aime ta queue chéri! Oh ouiiii je vais jouir, ouiiiiiiiiii, ahhhhhh, ahhhh!

Je jouis bruyamment et l’homme inonde mon ventre avec son foutre. Je me relève, me retourne et m’agenouille pour nettoyer sa bite avec ma langue. J’aime le goût du jus de ma chatte sur la bite d’un homme.

Puis tout à coup, cette queue noire commence à libérer un autre liquide, qui n’est pas blanc et épais. Son urine frappe l’intérieur de ma bouche. Elle a un goût acidulé.

– OH non…. Sale bâtard!

Sa pisse arrose mon visage et mes vêtements. M. ALLEN est en train de rire. Il me dit de tout boire ou j’aurais des ennuis.

– Mais c’est de l’urine?

– Et alors, tu as bien léché le trou du cul de clochard. Obéis et ferme ta gueule!

Je reste agenouillée pendant que le noir me pisse dessus. Une flaque d’urine commence à m’entourer. Et comme je suis une bonne pute obéissante, j’avale la bite et j’avale sa pisse jusqu’à ce qu’il finisse de se vider.

– Bien Hélène, mais ce n’est pas encore fini! Sourit M. ALLEN.

Il ouvre la porte et je vois quatre hommes, bites en mains, en train de se branler. Mon propriétaire m’attrape la main et me tire hors de la cabine. Je reste sans bouger, regardant ces bites, certaines grosses, d’autres petites, toutes différentes. Je sais qu’elles sont toutes pour moi.

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